Courte biographie de yasser arafat
About Palestine
Born in Cairo on 24 Aug. 1929; full name is Mohamad Abdul Rahman Abdul Ra’uf Arafat Al-Qudwa Al-Husseini; grew up mainly in Cairo and, for a brief period, in Jerusalem; fought in 1948 alongside the Mufti's defense forces of Palestine; graduated from Cairo University, Faculty of Engineering, in 1956;
* founder and president (1952-57) of the General Union of Palestinian Students (GUPS) in Cairo/Egypt;
* founder and chairman of the Union of Palestinian Graduates in 1956;
* volunteered in the Egyptian army during the Suez Canal crisis; left to Kuwait in late 1956;
* co-founder (with Abu Jihad) of the first Fateh-cell in 1957;
* Founder of Fateh party (January 1959), until today PLO's largest faction; Fateh leader since 1958 and its spokesperson since 1968;
* Member of the first Palestinian delegation to China to confer with Premier Chou-En-Lai in March 1964; elected chairman of the PLO Exec. Committee since Feb. 1969 when Fateh took over the PLO; changed the directions of the PLO from being pan-Arabist to focusing on the Palestinian national cause;
* Appointed Commander-in-Chief of the all-Palestinian/Arab guerilla forces in Sept. 1970; agreed to ‘liberate Palestine by stages’ at the PNC conference of 1974;
* Addressed the UN General Assembly in New York for the first time on 13 Nov. 1974, saying he bore an olive branch (for peace) in one hand, and a gun (for war) in the other; rejected Egyptian President Sadat’s peace talks with Israel from 1977-1978, after it became clear that its version of Palestinian autonomy fell far short of statehood, and gave no role to the PLO;
* In March 1986, offered to accept UN Res. 242 and 338, and thus Israel, if the permanent UNSC members guarantee the Palestinians’ right to self-determination;
* On 15 Nov. 1988, recognized Israel, renounced terrorism and proclaimed the independent Palestinian State; and elected by the PLO Central Council as the first President of the State of Palestine on 2 April 1989; o 1Située à la charnière du Levant 1 et de la péninsule arabique 2, la Jordanie occupe une place particulière dans la géographie islamiste, plus particulièrement dans celle du courant salafi. Relativement négligée dans les études consacrées à la salafiyya, elle 3 a pourtant produit depuis près de trente ans quasiment autant d’oulémas salafis - toutes tendances confondues - que l’Arabie Saoudite. Cette dernière monopolise pourtant l’attention des chercheurs et des journalistes. Dans cette courte note, la salafiyya jordanienne sera présentée tant à travers les débats théologiques qui l’animent que dans son ancrage territorial au sein des villes jordaniennes (Amman, Zarqa et Irbid). Les prédicateurs salafis jordaniens, qu’ils soient quiétistes ou jihadistes 4, bénéficient d’un rayonnement international via leurs réseaux de disciples disséminés à travers le monde, de plus en plus relayés par des sites internet. 2À l’instar des grandes capitales du monde arabe, la ville d’Amman n’échappe pas aux embouteillages qui, sans atteindre le chaos cairote, compliquent sérieusement la vie des automobilistes. Immobilisé dans sa voiture, le conducteur musulman invoque parfois le Très-Haut, comme l’y invite de nombreuses pancartes, judicieusement placées autour des ronds‑points et des panneaux signalétiques 5. Ces invocations (al-du‘â) sont quotidiennement récitées par les musulmans respectueux des textes scripturaires, se conformant ainsi aux différents hadiths invitant les fidèles à se remémorer leur Créateur tout au long de la journée. Chaque événement rythmant l’activité quotidienne, l’acquisition d’un bien ou encore la rencontre d’un infirme, est ainsi sacralisé par la récitation d’une formule spécifique. Certaines de ces invocations ne sont pas liées à une situation précise, l’imploration du pardon de Dieu (astaghfiru-llâh) devant être permanente, puisque le croyant ignore le moment où il va rencontrer son Seigneur ( Al-Haq (en arabe : الحق) est une organisation palestinienne indépendante de défense des droits de l'homme basée dans la ville de Ramallah en Cisjordanie. Fondée en 1979, Al-Haq surveille et documente les violations des droits humains commises dans le cadre du conflit israélo-palestinien. Elle publie des rapports sur ses conclusions et produit des études juridiques détaillées. Elle est dotée du statut consultatif spécial auprès du Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC) depuis 2000. Al-Haq est affiliée à la Commission internationale des juristes basée à Genève. Elle est également membre de la Fédération internationale des droits de l'homme, de la Coalition internationale Habitat et de l'Organisation mondiale contre la torture. Elle fait également partie du Comité exécutif d'EuroMed Droits et du Comité directeur du Réseau des ONG palestiniennes. Israël l'a qualifiée d'organisation terroriste en octobre 2021 avec cinq autres organisations palestiniennes humanitaires. Cette qualification a été rejetée par les grandes associations humanitaires et la communauté internationale. Al-Haq a été créée en 1979 par un groupe d'avocats palestiniens. Selon Al-Haq, elle fut l'une des premières organisations de défense des droits de l'homme créées dans le monde arabe. Au cours de ses premières années, Al-Haq s'est largement limitée à analyser le statut juridique d'Israël en tant que puissance occupante en Cisjordanie, Jérusalem-Est comprise, et la bande de Gaza ainsi que les structures de gouvernance mises en place. Elle produira certaines parmi les premières études essayant d'analyser l'occupation israélienne sous l'angle du droit humanitaire. Al-Haq a rapporté que ces études « étaient essentielles pour façonner le débat sur les lois et réglementations applicables dans les TPO». C'est durant cette période qu'Al-Haq a créé son unité juridique. En 1986, elle avait commencé à . Note sur l’espace public salafien Jordanie
Al-Haq
Premières années
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